Sujet du jour : "Les Paroles s'envolent, les Ecrits restent.

Dans le bon sens, comme dans le mauvais, nous affirmons bien souvent, que les "paroles s'envolent et que les écrits restent. Oui mais, pour qui ? :

-  Pour ceux qui les reçoivent,
ou
-  Pour ceux qui les envoient.

En me penchant un peu plus sur cette formule, je rajouterai, que les mots sont percutants, et qu'ils peuvent également laisser de sacrées empreintes sur le cœur, et marquer ainsi l'esprit.

Quant aux écrits, étant plus élaborés plus réfléchis, ils risquent effectivement de frapper davantage, compte tenu d'une part, de ces deux raisons, et d'autre part, des yeux qui à tout moment, sont susceptibles de retomber dessus.

En définitive, OUI les écrits restent et peuvent s'avérer plus nocifs que les paroles, si l'on tient compte des deux critères énoncés ci-dessus (élaborés, réfléchis), l'écart, s'il s'agit par exemple d'un écart, sera plus difficilement pardonnable, que quelques mots lancés spontanément  dans un accès de colère ou d'impulsivité.

Mais les mots, ont pour faculté dans leur résonnance, de tourner longtemps dans la tête.

Je terminerai dans ce cas, en vous rappelant tout simplement une expression qui dit : "il faut tourner sa langue sept fois avant de prononcer des mots que l'on risque de regretter"

Sujet du jour : "On a l'âge que l'on se donne"

"On a l'âge que l'on se donne"  résume bien ce sujet.

"La sensation de vieillir :

  Est-elle une crainte ?
  ou la prise de conscience
  d'un printemps se glissant lentement vers l'automne ?

Un esprit, un tempérament, un caractère, jeunes, alors que le corps commence à manifester des signes de l'âge, comment dans ce cas, affronter, concilier l'écart, entre un corps qui physiquement et physiologiquement commence à afficher ses empreintes, et un esprit qui les occulte ?

D'une manière générale, ceux sont justement les personnes (quels qu'en soient leurs prétextes et hommes ou femmes confondus) qui ont du mal à livrer ou à parler de leur âge, pourquoi ?  mais tout simplement  parce qu'ils s'angoissent inconsciemment par rapport aux années qui les dépassent et qui ne correspondent pas à l'image qu'ils ont deux mêmes ou qu'ils veulent donner d'eux mêmes. Ce besoin permanent d'être vus dans la cour des jeunes, est un signe évident de crainte et de rejet du vieillissement, qui apparaît parfois à leurs yeux comme une honte . Hé oui, certains vous diraient "c'est la honte de vieillir, on ne te calcule plus, on te met de côté comme une vieille chose etc...".

"Bien vieillir, c'est accepter de regarder sa jeunesse mûrir"

"La vie nous a conçus,
  la vie nous consume"

Une réalité à accepter afin d'apprécier et de vivre chaque étape de notre existence munie de son lot de charme et de surprises.

Le regard sur la vie devient différent, et les choses de la vie le deviennent tout
autant.

Ce sujet fait l'objet d'une nouvelle page sur le site :
Ecrire, Dire ou Penser.

https://sites.google.com/site/avraidireen2013/
 

Sujet du jour : La stupidité

La stupidité et la bêtise  humaine ne font qu'un. Nuance entre les deux ?
Possible, en considérant que la stupidité n'est parfois que passagère et la bêtise humaine, incarnée, innée... Dans le premier cas, (passagère) on a droit à cet écart, dans le second (innée) on le subit.

On peut très bien commettre des erreurs (qui n'en commet pas d'ailleurs ?), sans être stupide pour autant. Par contre,  on peut induire en erreur en faisant preuve de stupidité, par manque de réflexion.

La stupidité est associable à la naïveté, l'innocence ou plus péjorativement à la méchanceté. Ce qui ne veut pas dire que l'innocence et la naïveté soient source de "bêtise".

Il existe, ce que l'on appelle, des individus "bêtes et méchants" et ceux qui jouissent de leur bêtise, sans pour autant faire de mal à une mouche.

"La stupidité est un ingrédient de la vie que l'homme ne peut s'empêcher d'utiliser.
 Ceux qui en sont dotés en mettent à toutes les sauces, sans se soucier des quantités.

 Tant qu'elle reste inoffensive, elle ne peut atteindre que le sommet de la bêtise. 

Je vous laisse commenter, si le cœur vous en dit.

Sujet du jour : Le bilan des sujets du jour

Sur ce BLOG  "Et vous qu'en dites vous",  j'ai constaté  avec plaisir, qu'un certain nombre de sujets ont été visités et appréciés plus que d'autres.

Avec votre aide, ce bilan me permettra de continuer à proposer des sujets dont l'intérêt que vous y apporterez me sera précieux.

Afin d'y parvenir, je vous laisse choisir sur ce blog, un ou plusieurs titres de sujets que vous avez bien aimés.


Etes-vous d'accord pour me rejoindre sur ce terrain ?

Merci bien chaleureusement par avance, pour votre coopération.

Je vous attends nombreux !!!!!

Sujet du jour : Interprétation de la citation : "Rien ne sert de courir il faut partir à point"

Dans l'une de ses fables,  "Le lièvre et la tortue", Jean de la Fontaine, dit un jour :

"rien ne sert de courir, il faut partir à point".




Toute interprétation peut être similaire à une autre et perçue différemment.

Je vous en suggère deux d'après mes propres ressentis , mais il se pourrait que vous ayez vous mêmes, une autre conception de cette citation. A moins que vous soyez juste d'accord avec moi.

Si cela est le cas, n'hésitez pas à commenter sur ce sujet, je vous y attends nombreux.

1.  Comme quoi, se précipiter, ne sert à rien, alors qu'il risque d'être déjà trop tard.

2.   Mieux vaut s'organiser en temps et en heure, plutôt que de partir en dernière minute, au risque d'être en retard.

Sujet du jour : Coeur ? Cerveau ? qui répond à l'autre ?

Est-ce le cœur qui répond au cerveau ? ou
Est-ce le cerveau qui répond au cœur ?

En fait, plus précisément, dans le cadre d'un état émotionnel, la réciprocité se fait en fonction des ressentis. J'aurais tendance à penser que le cœur  réplique et le cerveau applique.

Vous remarquerez que sous l'effet d'une émotion, c'est un peu comme si l'esprit s'éclipsait pour quelques secondes sous l'emprise d'une force émotionnelle.

Il est certain que la subjugation intervenue en l'espace de quelques secondes, prouve que l'esprit frappé par celle-ci, ne peut être issue que par l'émotion, et donc le cœur.

La réponse à la question de départ, revient donc à dire dans ce cas précis, que c'est bien le cœur qui répond au cerveau.