mercredi 26 novembre 2014

Sujet du jour : Persévérance = Obstination ?




Bien que persévérance  et obstination soient synonymes, la subtilité qui les différencie, réside dans la perception.



Persévérer  :

C'est la volonté, le courage, l'endurance et la continuité dans les idées, afin de poursuivre un projet jusqu'au bout, jusqu'à réalisation de celui-ci.

S'obstiner :

S'entend davantage dans le cadre de l'entêtement, bien souvent à tort ou à raison. Le but reste indéfini et varié. Parfois l'obstination fait parti intégrante d'un état de caractère. Et donc s'entêter à contredire quelqu'un (par exemple) vouloir parvenir à ses fins d'une manière ou d'une autre, risque de vous conduire droit vers un mur.

Dans persévérer on y perçoit de l'obstination puisqu'on s'entête à vouloir réaliser et réussir à tout prix.

Par contre, dans l'obstination, on perçoit avec évidence, un entêtement aveugle. Le désir de s'entêter par défi, contradiction ou mauvaise foi.

Alors, Persévérance, Obstination ?
de quel côté de la barrière, vous sentez-vous le plus concerné ?

Autrement dit, êtes vous têtu de nature ou apte au courage, à l'endurance et à la volonté de mener à bien vos projet ?

Je vous laisse commenter...


jeudi 20 novembre 2014

Sujet du jour : Fuir ses Responsabilités.




"Une décision engage parfois un destin,
  et le destin, prend la décision"


Fuir ses responsabilités, Est-ce un signe de :
  1. Lâcheté ?
  2. Faiblesse ? Paresse ?
  3. Incapacité à assumer ?
  4. Un manque de maturité ?
Quelle qu'en soit la raison nous sommes souvent amenés à devoir prendre une décision. Celle-ci, susceptible d'entrainer toute forme de responsabilités est par conséquent, sensée être bien étudiée, bien réfléchie, avant tout engagement.
Que ce soit matériel ou vis à vis de quelqu'un.

Néanmoins, bon nombre d'individus, on tendance à fuir certaines responsabilités qui leur incombent. Ce qui permet d'expliquer malheureusement, que parfois l'insouciance de l'un peut avoir un impact conséquent pour l'autre.

-  Lâcheté, faiblesse, paresse ? :  oui, parce qu'un manque de maturité, de caractère et de conscience, peut entrainer une incapacité à assumer. 

"Fuir ses responsabilités, est un pas en avant, qui n'a jamais fait avancer"

jeudi 13 novembre 2014

SPECIAL sujet du jour : le site ECRIRE, DIRE OU PENSER.



  A vous, mes chers :

Admirateurs, lecteurs, visiteurs de ce blog et du site  : Ecrire, Dire ou Penser :

https://sites.google.com/site/avraidireen2013/


Je suis infiniment heureuse de porter aujourd'hui à votre connaissance le magnifique succès que le site : Ecrire, Dire ou Penser affiche à ce jour.

Et bien évidemment, amis de Google+ , admirateurs, lecteurs et visiteurs, vous en êtes directement concernés.

Ce spécial "sujet du jour" vous ai consacré aujourd'hui  13 novembre 2014 (jour de la gentillesse) car votre gentillesse à mes yeux, n'a pas de prix.

Quelle ironie de dire que les mots me manquent pour vous exprimer ce que je ressens, mais c'est bien vrai. Ne dit on pas que c'est le cordonnier le plus mal chaussé ? et bien cela doit être mon cas.

Alors, du fond du cœur, je dirais tout simplement : UN GRAND MERCI A VOUS TOUS qui chaque jour êtes derrière votre écran.

lundi 10 novembre 2014

Sujet du jour : Mots pour Maux.

 


Mots pour Maux :
Une thérapie qui ne cessera jamais d'exister.
"Les mots ont des "capteurs" de maux invisibles..."





A la rencontre d'un être moralement fragilisé, j'ai la sensation que les mots visant à repérer et cibler les maux invisibles, enfouis au plus profond de l'âme, de l'esprit et du cœur, interviennent en "éclaireurs". Ils se posent au bon endroit, au bon moment.

Les mots ont un pouvoir  insoupçonné. Ils détectent, décèlent, décryptent et libèrent ainsi l'indicible.
 

En complément   à la nécessité d'un traitement médicalisé, (si besoin est), traiter  les maux par des mots, confère à un individu  en état de souffrance psychologique la possibilité  de traduire l'intensité de ses maux en les exprimant.

La médecine  de l'âme, de l'esprit et du cœur, utilise des mots à la hauteur de cette souffrance, dans le but d'éveiller chez le sujet, une prise de conscience, susceptible  de lui permettre  de faire le point  sur l'origine de son mal être  et d'en percevoir ainsi une meilleure compréhension.

La prise de conscience, est la première porte à ouvrir afin de pouvoir franchir les étapes nécessaires  à la démarche d'une évolution menant à  la  reconstruction. Elle jongle  entre  mots et  maux qu'elle reconduit progressivement vers la corbeille de l'oubli.