samedi 25 octobre 2014

Sujet du jour : LE BONHEUR.





Dialogue entre nous :

Le bonheur :

Quelle image en avez vous aujourd'hui :

1.   Est-ce juste une potion magique offerte par la vie quand elle 
      veut bien

2.   Le vivez vous à ce jour ?
3.   Il ne vous parle plus depuis longtemps ?
4.   Vous l'espérez.
5.   Vous en êtes déshabitué(e) .....

Ou alors, est-il simplement toutes ces petites joies du quotidien qui font de vous un être heureux ?

 Je tiens tout d'abord à être claire, vis à vis des personnes qui font une différence entre "bonheur"" et sentiments heureux". Le bonheur étant aux yeux de certains une conception chimère et le sentiment heureux, un état psychologique.

Et bien, dans mon esprit, comme dans l'esprit de beaucoup de gens, les deux sont liés. 
Le bonheur n'est pas chimérique. C'est une conception, certes, mais il est associé à la sensation d'être heureux.

"Le bonheur est l'enfant du sentiment heureux"

Ce qui en résulte, que la psychologie de l'un (sentiment) fait la conception de l'autre (bonheur).
 
 

vendredi 17 octobre 2014

Sujet du jour : RELATIVISER



Ce sujet a fait récemment l'objet d'une nouvelle page sur le site  "Ecrire, Dire ou Penser".

Relativiser :

Est-ce une façon, entre autres de masquer de refuser la gravité d'un fait, ou d'une situation ?

La RELATIVISATION, peut affectivement avoir plusieurs facettes. Elle vise à atténuer, amoindrir, dédramatiser la réalité des faits, afin que la prise en compte puisse se faire en évitant que le côté émotionnel en soit trop affecté.

La relativisation atténue le côté négatif de la réalité des faits. Elle attribut une sorte d'allègement au caractère réel de la situation. . Ce qui n'est pas plus mal. En occultant une part de stress ou d'angoisse, la relativisation permet une meilleure objectivité et par conséquent une meilleure réflexion. Oui mais, faut-il aussi, pouvoir relativiser ? Vous me diriez très certainement qu'il est  plus facile de relativiser lorsque nous ne sommes pas directement concernés. D'une part, j'en conviens et d'autre part, cela dépend également d'un tempérament. Je dirais même d'une aptitude. Car certains sont plus aptes que d'autres, parce que mieux prédisposés.
 
On peut également l'associer à :
 
1.  Au tempérament,
 
2.  A une bonne maitrise de soi, qui permet, non seulement de se     protéger mais aussi de dédramatiser.
 
3.  A un instinct de protection visant à épargner émotionnellement autrui.

Cela dit, relativiser est susceptible d'être également une façon de prendre sur soi, dans le but de protéger des êtres hypersensibles, en leur présentant une image dédramatisée et donc moins péjorative et plus apaisante.

vendredi 10 octobre 2014

Sujet du jour : La valeur des mots.



Bien que "Les mots ne soient pas que des mots"


J'aimerais attirer votre attention sur le fait que la valeur des mots ne se situe pas dans leur définition mais plutôt dans la portée intonative, l'écho de la voix et la façon dont ils sont exprimés.

La portée intonative nous dirigera spontanément sur la perception, l'émotion évoquées par le ton. Elle déterminera ainsi le sens de l'expression et l'intention réelle formulée par les mots qui en découlent.

Par exemple :

Vous pouvez très bien dire à quelqu'un "tu es un gros bêta" sans pour autant vouloir l'insulter, votre vibration vocale transmettra l'information sur l'intention réelle de votre expression (susceptible de s'avérer chaleureuse et affectueuse).

Vient ensuite, la façon de les exprimer, qui elle se chargera de faire comprendre une intention, de la faire accepter ou refuser, et souvenez-vous

"plus vous serez en mesure d'arrondir les angles mieux vous serez écouté"

La façon de s'exprimer met en place tout un contexte qui fera mieux accepter certains arguments (qui risquent d'être mal pris si l'on ne prend pas quelques mesures.


MORALITE :  Les mots n'ont de valeur que si l'on parvient à leur en donner, que s'ils sont bien utilisés.


lundi 6 octobre 2014

Sujet du jour : La Passion




La passion :

La passion de l'art, des voitures, de l'écriture etc....  Voici donc, un sujet que j'ai envie d'évoquer, car il me semble que :


"La passion est cette petite voix intérieure qui vous demande de la dévorer, sans juste mesure"
 
Parlons en, jusqu'où peut elle nous mener ? jusqu'à s'oublier soi-même  parfois, jusqu'à en oublier d'autres plaisir de la vie ? jusqu'à négliger les êtres que l'on aime et qui nous aiment ?
 
Pensez-vous que j'exagère dans ces propos ?
 
Il est certain qu'avoir une passion dans la vie n'a pas systématiquement toutes ces extrêmes. la passion est aussi susceptible d'avoir des effets différents sur chacun de nous, une sensation d'évasion, de fuite de la réalité, d'oubli du quotidien, de rêve ou simplement le besoin d'accorder un vif intérêt à une autre concentration, que toutes celles exigées par la vie.
 
 
Je vous laisse commenter sur ce sujet, si vous le souhaitez.
 
(parler de votre passion et de celle d'un proche).