Ce sujet a fait récemment l'objet d'une nouvelle page sur le site "Ecrire, Dire ou Penser".
Relativiser :
Est-ce une façon, entre autres de masquer de refuser la gravité d'un fait, ou d'une situation ?
La RELATIVISATION, peut affectivement avoir plusieurs facettes. Elle vise à atténuer, amoindrir, dédramatiser la réalité des faits, afin que la prise en compte puisse se faire en évitant que le côté émotionnel en soit trop affecté.
La relativisation atténue le côté négatif de la réalité des faits. Elle attribut une sorte d'allègement au caractère réel de la situation. . Ce qui n'est pas plus mal. En occultant une part de stress ou d'angoisse, la relativisation permet une meilleure objectivité et par conséquent une meilleure réflexion. Oui mais, faut-il aussi, pouvoir relativiser ? Vous me diriez très certainement qu'il est plus facile de relativiser lorsque nous ne sommes pas directement concernés. D'une part, j'en conviens et d'autre part, cela dépend également d'un tempérament. Je dirais même d'une aptitude. Car certains sont plus aptes que d'autres, parce que mieux prédisposés.
On peut également l'associer à :
1. Au tempérament,
2. A une bonne maitrise de soi, qui permet, non seulement de se protéger mais aussi de dédramatiser.
3. A un instinct de protection visant à épargner émotionnellement autrui.
Cela dit, relativiser est susceptible d'être également une façon de prendre sur soi, dans le but de protéger des êtres hypersensibles, en leur présentant une image dédramatisée et donc moins péjorative et plus apaisante.
Cela dit, relativiser est susceptible d'être également une façon de prendre sur soi, dans le but de protéger des êtres hypersensibles, en leur présentant une image dédramatisée et donc moins péjorative et plus apaisante.
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